Final Fantasy IX jeu vidéo de Hiroyuki Itou (direction) et Hironobu Sakaguchi (conception et production). Coffret de 4 CD pour PS One. Développé et édité par SquareSoft. Diffusion : Infogrames. A partir de 25 euros.

De l'avis général, ce neuvième volet de Final Fantasy est l'un des meilleurs de la saga. Très supérieur en tout cas au précédent, un peu trop militariste dans l'esprit et linéaire dans le déroulement. Il ne recèle peut-être pas la même profondeur et la même complexité que FF6 ou FF7, les préférés des hardcore gamers. Mais il est techniquement irréprochable et témoigne d'un souci scénaristique qui faisait cruellement défaut jusqu'ici. Cet épisode signe aussi le retour vers les origines "médiévales" de la saga, précédemment oubliées - le titre lui-même de la série était pourtant destiné à évoquer l'heroïc fantasy.
On y relève également une dimension nouvelle dans la définition des personnages, plus subtils que d'ordinaire et parfois même un goût de la citation : le combattant Steiner a, par exemple, nettement les traits de Buzz l'Eclair . Les décors de FF9 sont d'une beauté remarquable dans l'univers souvent rabougri et pixelisé du jeu vidéo: ici, certains marais perdus ont une saveur de brume à la Mizoguchi et les canyons désolés, un goût fordien.
Bon assez parlé, je vais donc vous présenter un test complet comme vous n'en avez jamais vu…


Histoire


Le monde de Final Fantasy IX comporte quatre continents dont le tout forme Gaia qui dans la mythologie grecque signifie Terre. Djidane Triball, venant du royaume prospère et paisible de Lindblum dont le roi est Cid est un voleur et un comédien de théâtre. Ses chefs frauduleux l'ont chargé de kidnapper la princesse Dagga du royaume voisin d'Alexandrie, pour se venger de l'attaque émise par la Reine sur les environs.. A la surprise générale, la princesse Dagga, trouve ainsi une chance de sortir de sa cage dorée pour s'affranchir, son rêve de toujours, et accepte de se joindre à notre héros, accompagnée de son intendant, connu sous le doux nom de Adelbert Steiner! Cependant, la reine est furieuse de cette nouvelle et on devine la suite…
Avec Dagga et d'autres amis bientôt croisés sur leur route, Djidane va découvrir les continents immenses de leur lointaine planète en quête de secrets, de trésors, d'énigmes et surtout d'ennemis toujours plus farouches.
Et c'est là que je choisis d'arrêter mon récit ! Il ne faudrait pas non plus trop en dire..


Personnages


. Les caractères des personnages sont très divers et leurs facultés très complémentaires : des guerriers, un magicien, deux "invocatrices", un cannibale, etc.. L'activation de leurs pouvoirs donne lieu à d'épiques effets spéciaux, comme il est de coutume dans cette série, tandis que leurs pérégrinations sont encadrées de séquences cinématiques en 3D d'une perfection technique éblouissante qui sont la marque de fabrique de la maison SquareSoft.


Djidane est le héros de Final Fantasy 9. Plutôt beau garçon, il ne possède aucun but particulier à atteindre et est très insouciant. Plutôt Don Juan avec les filles, il a un succès certain avec la gent féminine. Faisant parti d'une tribu de malfrats, il possède des aptitudes de " vol " très fortes dans les combats. Dans ces derniers, Djidane est sans aucun doute l'un des personnages les plus équilibrés : il est assez résistant, engendre des dommages non négligeables et des pouvoirs destructeurs une fois en " transe ".


Dagga est une jeune fille qui possède le même âge que Djidane. Elle est issue d'une famille aisée et de sang bleu. En effet elle est la fille de la reine Brahne. Cependant lassée de vivre de cette manière, elle ne pense qu'à sortir de son palais et à partir à l'aventure. Vous verrez vous-mêmes si ce vœu sera réalisé…
En combat, Dagga est le protagoniste qui restaure ses équipiers Sa puissance d'attaque physique est faible mais elle possède un argument qui joue en sa faveur: La capacité " Summon " !


Jeune fils d'un Mage noir, Vivi Ornitier est très naïf et est plutôt pataud. Cependant, malgré le fait que sa personnalité ne soit pas du tout comme les autres, il est très utile en tant que grand Mage noir. Vivi est amnésique et a perdu le goût de vivre. Il paraîtrait que ce personnage serait un personnage clé de Final Fantasy 9 selon Monsieur Sakaguchi, père de la série des Final Fantasy.


Adelbert est le Chevalier le plus puissant de la famille royale du royaume d'Alexandria. Son unique objectif est de protéger et de servir Dagga, la princesse d'Alexandria. Sous ses aires de vieux bougon, son alliance avec Vivi Ornitier va s'avérer grandissante au fur et à mesure qu'on avancera dans la partie.

Eiko est une sorte de Djidane au féminin. N'ayant que 6 ans, elle étonne souvent les gens autour d'elle par son intelligence et son charisme. Avec son incroyable connaissance, elle est sans conteste un protagoniste plein de surprises et qui laissent peu de gens indifférents.

Freyja est une amie de longue date de Djidane Elle rejoindra votre équipe en vous croisant dans un bar. Il s'agit d'une guerrière pleine de ressources mentales et physiques, et semble être très perturbée par des évènements passés. Il s'agit d'une femme très sensible. Freya combine charme et force dans sa manière d'agir.

Kweena ne pense qu'à manger des grenouilles et porte un physique peu avantageux : en effet elle est plutôt potelée et ressemble à peu de gens… Ses capacités dans les combats et son personnage ressemblent étrangement à Cait Sith de Final Fantasy 7.

Tarask , personnage assez réservé et taciturne est imprégné d'un grand mystère. Il ne jure qu'en lui-même et à son propre entraînement. Pour lui, seul le pouvoir et la force comptent, et il pense que ce sont les seules qualités dont on a besoin pour s'en sortir dans la vie. Étant très sûr de lui, il lui est très difficile de se mettre au service de d'autres personnes.

 

SYSTEME DE COMBAT

Contrairement aux derniers FF, quatre personnages pourront se battre simultanément.
Le système des MP refait son retour dans ce nouvel épisode.
Capacité : Chaque personnage apprend des capacités en rapport avec son métier. Ainsi, Djidane apprendra des capacités de voleurs, Steiner de guerrier, Garnet de magicienne...

Système d'équipement :
C'est sûr, dans Final Fantasy 9 vous pourrez acheter et équiper des armures, des boucliers, des reliques.... Chaque pièce d'équipement vous apprendra des capacités. Chaque équipement possède ses propres capacités que le personnage peut intégrer lorsqu'il est équipé de cette même arme. Les équipements seront valables que pour certains protagonistes. Par exemple, en étant équipé avec une certaine arme, Vivi pourra apprendre des magies telles que " Brasier ".
Capacités : il y a deux types de capacités : les capacités d'action et les capacités de statuts. Ces dernières peuvent augmenter vos statistiques ( comme par exemple la force ) ou peuvent augmenter la résistance d'un personnage contre les statuts anormaux ( tels que le poison ). Quant aux capacités d'action, elles vous permettent d'apprendre les capacités d'attaque comme les invocations pour Dagga et Eiko.
Mode Transe - Ce mode est l'équivalent des limites des épisodes précédents. Ayant reçu un certain nombre de dégâts ennemis, notre protagoniste se mettra en "transe" débloquant temporairement ainsi des capacités de combat surpuissantes.

Intéressons-nous maintenant au système de jeu qui est capital pour un RPG. On retrouve les classiques options de combat de la série avec la barre d'action, l'attaque classique, la magie, les invocations (seulement pour 2 persos !), Et les coups spéciaux. Tout cela reste très efficace et on ne voit franchement pas pourquoi Squaresoft changerait ce système. En revanche, comme à chaque nouveau FF, c'est la procédure d'apprentissage des personnages qui change. Ici, l'acquisition de tout un tas de possibilités au combat (magies, invocations, techniques spéciales, protections de statut, etc...) se fera par l'intermédiaire des armes et armures que vous portez. Par exemple, si vous portez une armure qui fait apprendre la magie "Feu", vous pourrez faire cette magie en combat tant que vous porterez cette armure. Si vous l'enlevez, vous perdez cette capacité à moins d'avoir porté l'armure assez longtemps pour apprendre définitivement la magie. Mais ce n'est pas tout... Vous disposez d'un certain nombre de points spéciaux à attribuer à ces capacités apprises ou disponibles et la plupart du temps, vous n'aurez pas assez de points pour tout activer ! Il va donc falloir choisir judicieusement les capacités que vous souhaitez activer. Au final, ce système se révèle assez rigide, et la plupart du temps, vous porterez les armures jusqu'à l'apprentissage définitif de la capacité afin d'en disposer comme vous le souhaitez avec l'attribution des points spéciaux. Les bidouilleurs de persos en seront donc pour leur frais car Square a opté pour un système simple et qui satisfera les joueurs les moins exigeants.

Graphismes

En premier lieu, les cinématiques sont encore plus belles que dans les épisodes précédents( même si ça rame pas mal en partie lors de changements d'images), on a vraiment l 'impression d'assister à un vrai dessin animé tant elles sont fabuleuses. Les décors sont variés et bien réalisés. Comparé à FF8, nous avons une impression paradoxale de régression.
Cependant, les personnages et les décors sont quand même dessinés pour les enfants et donc, le super deformed gâche un peu tout ce qui a été dit précédemment. Les protagonistes sont affublés de têtes plus grosses que leur corps minuscules et ont tendance à pixelliser durant les combats.



Critiques

Après, avoir été véritablement bluffé par l'épisode 7, pas mal de gens avaient reproché à Square de transformer sa série phare avec le 8.
Ce nouvel épisode est donc un moyen pour mettre tout le monde d'accord et ainsi faire un retour aux sources. On aura donc droit à un monde heroic-fantasy. Finis les mondes contemporains voire futuristes, bienvenue aux mogs, aux châteaux, aux princesses et aux mages…
Mais nos critiques ont-elles véritablement porté leurs fruits ?
Tout d'abord, commençons par les graphismes, très paradoxaux.
En premier lieu, les cinématiques sont encore plus belles que dans les épisodes précédents( même si ça rame pas mal en partie lors de changements d'images), on a vraiment l 'impression d'assister à un vrai dessin animé tant elles sont fabuleuses. Les décors sont variés et bien réalisés.
Cependant, les personnages et les décors sont quand même dessinés pour les enfants et donc, le super deformed gâche un peu tout ce qui a été dit précédemment. Les protagonistes sont affublés de têtes plus grosses que leur corps minuscules et ont tendance à pixeliser durant les combats.


Je prends les héros qui ne font vraiment pas leur âge : On peut remarquer que Zidane est vraiment un personnage immature. En effet il pense tout le temps à faire des bêtises, sa façon de draguer toutes les filles… En voulant repartir sur ses idées de départ (au temps de l'âge de pierre^^) , Square oublie que les protagonistes sont quand même avant tout là pour qu'on s'identifie à eux. Et Zidane, il manque quand même de tact… Le personnage de Garnet n'est vraiment pas original, on remarque quand même les éternels amours impossibles entre fille au sang bleu et enfant du peuple : Ce scénario est déjà présent dans Illusion of time ou Paul décide d'enlever Flora la Princesse. En outre, elle possède tout comme Flora dans Illusion of time des traits assez ressemblants : le coté gamine et qui veut découvrir comment on vit en dehors du château familial. J'appelle cela vendre un jeu en pompant des scénarios à succès….
Ensuite, Vivi. Ce dernier est pour moi le seul qui fasse dans l'originalité dans ce soft. En effet, il ne ressemble à aucun autre protagoniste de la série voire de tout autre jeu. Et on s'attache à lui car il est naïf, pataud, et amnésique. J'ai apprécié aussi Vivi parce qu'il est condamné à mourir à courte échéance, et qu'il veut donner un sens à sa trop courte vie avant qu'elle ne se finisse.
Steiner, par contre est vraiment peu original, et comme dans la plupart des films à l'eau de rose (comme Titanic entre autres) il représente la bonne conscience de Dagga, le personnage qui lui montre les dangers, la guide etc.…Cependant, il a quand même le mérite d'apporter une dimension comique au jeu, et puis son amour avec Beate et ses crises de conscience le rendent plutôt intéressant même si l'impression de déjà vu subsiste encore : du pompé sur les jeux de scène qu'il peut y avoir au théâtre. Il est en outre d'un ridicule certain.
Freyja est pour moi inutile car elle est un personnage complètement transparent : elle sert peu dans les combats, elle apporte peu à l'histoire si ce ne n'est qu'on sait qu'elle recherche son amour disparu il y a longtemps.
Quina est le personnage le plus mal travaillé de la série car c'est malheureux à dire mais c'est le genre de personnage qui peut nous faire perdre la partie, il est vraiment nul aux combats, il est gamin au possible et tout ce qu'il sait faire c'est goinfrer. Pour moi c'est du repompage sur Cait Sith, c'est à dire, personnage inutile et faible.
Eiko, est un peu comme Vivi assez original et sauve un peu le casting car elle apporte jeunesse mais sans trop insister quand même. J'ai assez apprécié cette fille car elle a de bonnes magies de guérison et j'ai toujours voulu croire à une idylle entre elle et Zidane ou Vivi mais hélas cela ne s'est pas fait…
Tarask est trop pompé sur d'autres personnages comme Végéta dans Dbz : Bandit au début, gentil à la fin. Et sa rivalité avec Zidane est un peu trop reprise de l'opposition Goku/Végéta. Comme pour les autres, il est peu original.
Ensuite, les musiques, pour la plupart sont tirées de des anciens épisodes et donc manquent de nouveautés.
En outre Square ne s'est vraiment pas foulé. Il s'est contenter de faire des remix de chansons déjà produites. C'est le cas du Gulg Volcano (FF1), et le thème des mog (FF6.). Quant à la musiques des batailles, Uematsu reprend le rythme et le même air que les premier Final Fantasy (: une musique du premier FF, une du II, une du III, une du V (le thème de Kuja !) et une du VII (la cérémonie de Rufus).
La durée de vie est relativement courte et en 25 heures, le jeu est bouclé, contre plus de 50 pour le 8 et plus de 60 pour le 7.
On peut donc penser que ce jeu a été fait pour des débutants vu sa faible durée de vie par rapport à ses aînés… Les quêtes annexes sont d'un ennui tellement important qu'on regrette le Gold Saucer de final 7 ou encore le fun city de Star ocean qui avait le mérite de nous occuper de longues heures. Ici, ce n'est pas le cas et comme dans le 8, la quête des chocobos est énervante… En outre, le jeu est assez linéaire et on a guère de liberté : on est guidé du début à la fin mais c'est le défaut de toute la série…
Je peux carrément dire que le dernier cd est vraiment bâclé comme si Square avait envie de faire vite fait pour plus le vendre mais résultat on a droit à une série de boss tous aussi faciles les uns que les autres : Au niveau 40 on les bat en quelque tours et sans avoir besoin de se guérir… Le pire est le boss final qui compte que 50000 unités contre plus de 1millions aux boss des épisodes précédents : Je me rappelle heures de combats que j'avais dû mener contre Ultimécia(f8) et les armes de ff7.
Quant au boss final, il porte des habits de fête foraine, du rouge à lèvres, une poitrine androgyne des yeux féminins, enfin bon, trop bête pour être un gars, et trop benêt pour être une femme. Il est insupportable car il rabâche toujours la même choses avec des expressions aussi stéréotypées que ridicules…Comparons-le à Séphiroth: On est à des années-lumière de différence! Il manque de charisme et de réalisme.
Maintenant, on peut constater quelques rebondissements dans le scénario mais ces derniers(à part l'histoire de Vivi), n'atteignent pas les scénarios à rebondissements de Final Fantasy 7, de Xenogears ou encore des deux derniers Cds de Legend of Dragoon. Les scénarii sur les enfances mystérieuses ont déjà été repris maintes fois dans les RPGs (Link dans Zelda, Clad un peu dans ff7)
Ensuite, les dialogues sont trop destinés aux enfants voulant s'initier aux RPGs.
Les mogs, les " coubo ", les graphismes enfantins rejoignent ce point de vue, la traduction enfantine : Bibi, Dagga(gaga^^) soulignent cet effet.
La traduction est d'une part vraiment mal conçue : Djidane au lieu de Zidane pour la version américaine mais la licence de ce dernier coûte sans doute trop cher pour Square… On constate cependant un progrès depuis les deux épisodes précédents mais bon cela n'atteint pas la traduction française d'autres RPGs…
L'aspect enfantin est souligné par l'impression de censure. On a l'impression que les méchants ne sont pas aussi méchants qu'on le pense, pas comme dans ff7 ou les sentiments étaient très accentués : Sephiroth tue les héros. Ce n'est pas le cas : il n'y apparaît pas de sang : je me souviens de la marée de sang qu'il y avait dans tout le bâtiment de la Shinra dans ff7^^. Sephiroth en mettait plein la vue et puis d'autres méchants étaient la, de la traîtrise jusqu'à l'amour, aux flash-back, ah le bon vieux temps !!! Mais bon, je m'égare…
Pour finir, je pense que j'aurais bien aimé ce jeu si j'en avais pas fait plein d'autres avant et que je n'avais pas 15 ans d'expérience en rpgs derrière moi…. En effet, j'ai vraiment trouvé le jeu accès grand public, les dialogues, les personnages, les graphismes, l'histoire, les " coubos " vraiment trop enfantins à mon goût. En outre le jeu manque sérieusement d'innovations : la nostalgie n'a pas pris chez moi car cela me rappelle trop d'autres jeux et plus le sentiment d'avoir du réchauffage sous mes yeux que du neuf qui me verse la larme à l'œil.
Mais je pense que Square contrairement à ses épisodes précédents a eu plus de pression pour le faire : faire bien en peu de temps et résultat, on se dit qu'il aurait vraiment été un bon jeu s'il n'avait pas eu qu'un temps minime pour le réaliser… Mais peut être n'est ce pas le point de vue de $quare…

NOTATION

GRAPHISMES : 18/20
Les graphismes sont encore améliorés et semblent être poussés au maximum de la playstation. Cependant, certaines vues sont mal choisies et les cinématiques ont tendance à ramer légèrement.


SCENARIO : 12/20
En fait cela dépend du passé rpgistique du joueur. En effet, le joueur qui a déjà joué aux épisodes précédents trouvera le jeu sans réelle surprise. Par contre le joueur qui commence avec ce jeu, sera ravi et la note peut passer à 15/20.


PERSONNAGES : 12/20
Vivi et Eiko sauvent la mise et apportent leur originalité par contre le reste n'apporte guère de nouveauté.


SYSTEME DE JEU: 14/20
Un systême de combat qui a fait ses preuves. Le retour des quatre personnages est bien choisi. Par contre les invocations et les limites ne sont pas très impressionnantes.


BANDE-SON : 10/20
Des musiques pompées et moyennes à tous points de vue…


ORIGINALITE : 5/20
Franchement je ne peux pas mettre plus, le jeu est plus que pompé sur les épisodes précédants


DUREE DE VIE : 8/20


De 20 à 50 heures selon les quêtes, bref je mets cette note car on a déjà vu beaucoup mieux de la part de square.


DIFFICULTE : 5/20
Une difficulté absente, le jeu est vraiment trop simple, les boss se battent en quelque coup et les Game Over sont inexistantes…

 


NOTE GENERALE : 10/20

Final Fantasy 9 n'est certes pas une daube mais comparée à ses aînés ce jeu fait figure de bâclage. Même si les graphismes sont au top, coté scénario, musique, gestion des combats et difficulté, le pompage est flagrant. On a déjà vu beaucoup mieux de la part de l'éditeur japonais.